qui a dit quoi? who said what?
« sublime festival de musique de chambre »
« c’est très bien parti ! » « une ouverture fortissimi » « une éblouissente sensibilité » Festival de musique, des applaudissements nourris Pour son troisième concert, ce vendredi 25 juillet, Musique à Marsac a proposé d'écouter (on pourrait dire de déguster) deux œuvres idéalement choisies pour que chacun des instruments – violon, alto et violoncelle – puisse exprimer toute la richesse de ses sonorités. Le choix de l'église Saint Barthélémy de Marsac était on ne peut plus judicieux : le récent concert de Sotto Voce avait révélé l'excellente acoustique de l'édifice religieux. Avec le «quatuor n° 13» de Schubert, les deux violons, corps du quatuor d'instruments, soutenus par le violoncelle, mettaient en valeur les échappées plus graves de l'alto. Mais le «Trio à cordes en sol majeur» du jeune Beethoven a été l'œuvre qui a révélé la remarquable virtuosité de ses interprètes. Le dernier mouvement en particulier, exécuté presto, a vu les trois instruments violon, alto et violoncelle se poursuivre, se répondre et renchérir l'un sur l'autre jusqu'au point final où les jeunes musiciens ont salué devant une assistance debout pour les applaudir. La Dépêche du Midi Le festival s'achève en beauté Le dernier concert du festival musique à Marsac a eu lieu dimanche 27 juillet, au Grenier. Près de quatre-vingts personnes y avaient pris place, occupant la totalité des sièges disponibles et attestant ainsi du succès croissant de cet événement capable de satisfaire jusqu'aux mélomanes avertis, tant par le talent des artistes que par le choix des œuvres interprétées. C'est Dvorak qui a ouvert le concert avec un quatuor pour piano et cordes dont le premier et le quatrième mouvements, énergiques, puissants, colorés, ont permis au majestueux piano à queue Steinway d'affirmer sa présence sous les doigts d'Alasdair Beatson. C'est ensuite les trois danses hongroises de Brahms, interprétées avec piano et violon, avec violons seuls ou au piano à quatre mains pour la dernière, qui ont présenté une face frivole moins connue du compositeur. Mais c'est le trio pour piano, violon et cor de György Ligeti qui a surpris l'assistance : cette œuvre illustre, en effet, le style iconoclaste de ce compositeur du XXe siècle qui utilise abondamment sons isolés et silences, intervalles irréguliers, demi-tons et dissonances, amplifiés par la large tessiture chromatique et harmonique du cor. Le concert s'est achevé avec un quintette d'Erno Dohnanyi riche en mélodies harmonieusement arrangées et mises en valeur par l'acoustique du Grenier. Alasdair Beatson qui a choisi les œuvres et les artistes venus de plusieurs pays a été chaudement applaudi et Fiona Finch qui organise le festival a donné rendez-vous l'année prochaine, au Grenier, qui accueillera de nouveau les concerts. La Dépêche du Midi |
the audiences:
…these miraculous creatures that are clearly made of otherworldly stuff. … what playing, what music all round. Alasdair’s programming was superb - daring, enlightening, thrilling and thoroughly satisfying all at the same time. And all those young geniuses seemed to be thoroughly at home and happy… It was a very precious time, a gem of a week. The atmosphere, the friendliness of everyone, added to the sublime music in an idyllic setting made, it a truly memorable experience… it was a REAL pleasure on every front, the whole thing gets better and better and that of course includes Alistair and his wonderful group of so talented musicians… please pass on sincere thanks from a grateful member of their audience, I look forward to next year. the musicians: I still have such warm and wonderful memories of the time I spent with you in Marsac. It was just the perfect place for any engaged musician. We cannot thank you and your wonderful friends with whom you organized the whole week so well. I enjoyed playing there for the absorbing and open audience... Ditta Rohmann The festival was so inspiring, and I hope that it carries on for many years, I had a truly wonderful time… Tim Ridout Many thanks for these wonderful moments. Olivia Hughes |